On peut incontestablement y voir une volonté de rapprochement. Un rapprochement entre deux mondes qui peuvent encore et toujours apparaître trop éloignés. Dans ce coin du globe du moins: les pilotes, leurs navigateurs et le public. En reprenant les rênes du Rallye international du Valais, le directeur général Cédric Borboën et toute son équipe avaient fixé comme priorité de renforcer ce lien. Cela a commencé dès leur arrivée en 2017 par une centralisation de l’épreuve autour des Casernes de Sion qui se transforment en un petit festival le temps d’un week-end prolongé. Le rapprochement s’est poursuivi cette année avec l’arrivée des voitures en ville. Hier, pour l’ouverture du rallye, les équipages ont ainsi lancé la 60e édition dans l’amphithéâtre de Martigny. Avant de se mesurer sur la première spéciale aux abords de la ville dans la zone du CERM.
S’ouvrir au plus grand nombre
Les Casernes, un passage en ville,...