Tennis: il en fallait plus pour éteindre les télévisions
L’Open d’Australie a démarré et, en même temps que la pluie a perturbé la première journée, les polémiques se sont gentiment éteintes, elles. Franchement, il fallait quand même être un brin naïf ou très idéaliste, ce qui est souvent lié, pour croire que des incendies et quelques fumées toxiques, à même de retenir à la maison les indigènes, puissent avoir raison des intérêts supérieurs de la petite balle jaune, de l’argent et des télévisions lors de la quinzaine de l’Open d’Australie. Le pays brûle, certes. Mais dans une région où les joueurs sont habitués à frapper dans la balle sous un soleil de plomb au cœur de l’été, à 40 degrés et plus, on ne va quand même pas interrompre le jeu et se priver de recettes phénoménales pour si peu.
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