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Quand le polo se la

La Verbier Polocup a attiré la toute grande foule au centre sportif. Rendez-

02 févr. 2009, 05:04

Il se réjouissait de disputer «un tournoi des plus compétitifs» et il n'a pas été déçu. Associé à son grand frère Simon, Martin Luginbühl n'aura finalement pas connu les joies de la victoire sur la neige de Verbier, face à une opposition de tout premier plan. Pas de quoi refroidir l'enthousiasme de ce sportif, ni sa passion pour le polo. Rencontre.

Comment devient-on joueur de polo?

On peut dire que je suis tombé très jeune dans la marmite. Mon père a créé le Domaine de Veytay à Mies, dans la région de Terre-Sainte, entre Genève et Nyon. C'est sur ce domaine que le polo a pris son départ en Suisse, et ces installations équestres figurent aujourd'hui parmi les plus belles d'Europe.

Votre parcours sportif était donc tout tracé?

Presque, car à l'âge de 9 ou 10 ans, je préférais le football. Mais dès 13 ans, j'ai mordu dans ce sport...

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