Et à la fin, c’est le totomat qui parle. Qui dira qui a le droit à la lumière et qu’on parle de lui. Dans le monde du VTT, la décision revient au chrono. Plus il est bas, plus vous aurez de chances d’apparaître au sommet de l’affiche. Ce serait toutefois oublier tous ceux qui souffrent en silence. On pense aux amateurs. Qui se lancent eux aussi sur l’un des quatre parcours que propose le Grand Raid et qui constituent 95% du plateau. «Il est vrai que l’on s’intéresse beaucoup aux premiers, aux professionnels et aux semi-professionnels. Et que les amateurs qui se frottent au grand parcours passent un peu dans l’ombre», sourit Allan Huguenin, 35 ans.
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Un investissement considérable
Puisque les chiffres parlent très souvent mieux que les mots, rappelons que le tracé roi du...