Ils n’en ratent pas une, des parties de rigolade. Chaque jour. Depuis le premier. C’était un soir à la répétition de la fanfare d’Orsières, il y a seize ans. Didier Jacquemettaz l’admet: c’est lui qui, la jolie Mélanie en ligne de mire, s’est lancé dans l’opération séduction. «Parce qu’elle avait l’air cool.» Mélanie ne voit pas venir tout de suite «le guet-apens», comme ils l’appellent. Puis elle rigole. Ils boivent des coups, et c’est parti. Il y aura le mariage cinq ans après – une évidence pour le duo – puis l’explosion des émotions, encore plus forte, lorsque leurs petits Noëlly et Julien ouvrent leurs yeux. «La naissance des bébés est un truc impossible à décrire, démentiel. On marchait au plafond», raconte Didier.
Pas si standards
Chez les Jacquemettaz, on court, tout le temps et partout, et on adore ça. «On vit tous à 300 à l’heure». Papa et maman...