Forcément ça devait finir pas arriver. Forcément, c’est plus douloureux lorsqu’on tombe de haut parce qu’on culminait à des altitudes que les autres n’ont jamais atteintes.
Le PDC valaisan laisse donc un siège dans cette bataille fédérale. Mais surtout de nombreux kilos électoraux – presque quatre points – dans cette course durant laquelle on donnait à raison et depuis quelques mois, les démocrates-chrétiens défaits.
Protégé par les montagnes et ses rocs
Le PDC valaisan avait pourtant résisté plus longtemps que n’importe où aille...