Le président Bush n'a pas d'atomes crochus avec l'Iran. Mais au-delà du concept flou de l'«axe du Mal» dont il a fait ses choux gras, l'hôte de la Maison-Blanche a des raisons tout à fait concrètes de s'en prendre au dossier nucléaire de Téhéran. La bombe atomique iranienne qui contrebalancerait l'arsenal israélien se vérifie comme une fiction. A l'image des armes de destruction massive que l'Irak de Saddam Hussein n'a jamais possédées. La CIA a clairement donné l'information: les Iraniens ont laissé tomber leur programme militaire en 2003. Voilà pour la menace fictive. En revanche le nucléaire peut rapporter gros. Les Français en ont récemment administré la preuve. Le président Nicolas Sarkozy a réussi à vendre aux Etats de la Péninsule arabique comme à la Libye de Kadhafi des centrales civiles. Avec à la clé des contrats portant sur des milliards de dollars. On sait que les réserves de pétrole...
Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Votre publicité ici avec IMPACT_medias