Les reportages de deux groupes d’adolescents

Des journalistes du «Nouvelliste» ont donné les bases de leur métier à deux groupes d’adolescents mercredi et jeudi matin. Voici le reportage de ces élèves qui ont joué le jeu.

1. Reportage de Sara Pierro, Eline Bender, Lilou Sozio et Guillaume Roduit:

Les métiers qui ont ou pas du succès à Your Challenge

Automaticien, Ebéniste, Contrôleur aérien, certains on plus d’attraits que d’autres envers les jeunes.

Au salon Your Challenge de Martigny, plus de 400 métiers sont représentés en 70 stands. Quelles sont les professions qui ont le plus ou le moins de succès? Tour d’horizon.

Par exemple, au stand d’automaticien, Nathan Moix (17 ans) explique sa profession aux jeunes intéressés. «Notre stand attire beaucoup d’adolescents grâce aux lumières, robots ainsi des cubes 3D», souligne-t-il en ajoutant que c’est un métier très polyvalent qui touche à tout, pas qu’aux ordinateurs. «Nous faisons aussi des dépannages d’installations électriques, de la programmation pour des entreprises industrialisés, automatise des chaînes de production…» null

Le stand d’ébéniste a eu également «pas mal de succès» selon Leila Michellod (22 ans) qui travaille dans une petite entreprise d’ébéniste. «Aujourd’hui, les personnes recherchent plutôt le style moderne alors qu’il y a plusieurs années le métier consistait à donner une nouvelle vie aux anciens meubles» précise-t-elle. Delphine Fournier (18 ans) ajoute que différents types de bois sont utilisés pour construire des meubles, des maisons… Elle apprécie de voir le développement de la construction des maisons.

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Moins de succès

Mais certains métiers tels que les contrôleurs aériens (Skyguide) qui gèrent le trafic aérien en Suisse ainsi que dans les régions limitrophes, ne reçoivent pas beaucoup de monde. «Les gens ne connaissent pas trop le métier qui demande des compétences exigeantes comme savoir gérer son stress, parler anglais…» raconte l’un des employés. null

10% d’apprentis en moins en 10 ans: comment le Valais peut y remédier?

A l’heure où le Valais est en pleine croissance économique, la diminution du nombre d’apprentis inquiète. Adapter les conditions-cadres de la formation duale pourrait être une solution.