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Un agenda électoral toujours plus pénible pour les Vaudois

Avec la disparition de Jean-Claude Mermoud et le retrait de Micheline Calmy-Rey, l'équation se corse, à gauche comme à droite.

27 sept. 2011, 05:02

Le calendrier prévu tenait déjà du marathon: les élections fédérales se jouent six mois après les communales et six mois avant les cantonales, alors que l'écart entre la droite majoritaire et la gauche n'a cessé de se réduire, suscitant la crainte des uns et l'espoir des autres.

En plus, au début de ce mois, en 48 heures, les paramètres ont brutalement évolué. Le décès de Jean-Claude Mermoud et le retrait de Micheline Calmy-Rey suscitent des enjeux cantonaux et fédéraux aussi soudains que pesants.

Stratèges déboussolés

Election complémentaire au Gouvernement vaudois, faux espoirs de Daniel Rossellat pour la gauche, hypothèse d'un départ de Pierre-Yves Maillard... Trop c'est trop: les stratèges révisent leur algèbre, tout en se demandant s'ils ont bien compté le nombre d'inconnues dans l'équation.

Jean-Claude Mermoud, fort de ses 13 années au Château cantonal, était vu comme le meilleur espoir de la droite pour déloger Géraldine Savary (PS) ou,...

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