«Une année de perdue», «vivement 2021», «2020, un millésime à oublier». La pandémie de Covid-19 a incontestablement gâché l’année du monde entier, et la Suisse n’y fait pas exception. En Europe, notre pays est l’un des plus touchés par la deuxième vague épidémique de l’automne. Plus de 7000 personnes en sont décédées jusqu’ici, des milliers ont perdu leur emploi. Tout est-il à jeter de l’an qui s’achève? Non...
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Trois raisons d’espérer en 2021

Parmi les événements politiquement marquants de 2020, on peut, à n’en pas douter, noter l’acceptation à 60,3% des voix, le 27 septembre, du congé paternité de deux semaines.
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