Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Si nous ne trouvions pas de solution, la Suisse serait affaiblie»

Les présidents des deux EPF se sont rendus à Bruxelles pour plaider la cause de la recherche suisse.

02 oct. 2015, 00:45
epa04686942 A forensic scientist of the Criminal Research Institute of the National Gendarmerie (IRCGN), collects DNA taken from the body parts of people involved in the crash of Germanwings jetliner, in Pontoise, outside Paris, France, 30 March 2015. The process of identifying the victims of Germanwings crash has now entered its active phase, but the families will still have to wait months to find out if their loved ones are among the bodies found.  EPA/Christophe Ena / POOL POOL FRANCE GERMANWINGS PLANE CRASH AFTERMATH

Les présidents des deux écoles polytechniques fédérales de Lausanne et de Zurich ont défendu hier à Bruxelles l’importance pour la Suisse d’être intégrée aux programmes de recherche européens. Les représentants de l’UE rencontrés partagent cette vision.

«La Suisse compte parmi les pays les plus innovateurs au monde. (...) Tout le monde serait perdant si les universités suisses étaient exclues de la compétition à laquelle se livrent les pays européens sur le plan de la recherche», a indiqué Lino Guzzella, président de EPFZ. Les craintes en la matière émanent de l’acceptation par le peuple suisse de l’initiative contre l’immigration de masse le 9 février dernier. «La science fut la première victime. Et il y a tout lieu de craindre que nous soyons de nouveau les premiers à subir des conséquences négatives si nous ne trouvons pas une solution contraignante pour l’accord sur la libre-circulation des personnes d’ici à la fin...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias