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Mauvaises surprises en série pour les assurances avec médecin de famille

Les modèles alternatifs sont très populaires, mais les assurés ne sont pas conscients des contraintes qu’ils impliquent. Les associations de consommateurs sifflent un avertissement.

14 déc. 2015, 21:09 / Màj. le 15 déc. 2015 à 00:01
ARCHIV --- ZUR DEBATTE IM NATIONALRAT UEBER DIE HAUSARZTINITIATIVE STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES ARCHIVBILD ZUR VERFUEGUNG --- Hausarzt Peter Zaech macht am 19. August 2009 in Richterswil im Kanton Zuerich einen Hausbesuch. (KEYSTONE/Gaetan Bally) SCHWEIZ SESSION HAUSARZTINITIATIVE DEBATTE

Statistiquement parlant, les Suisses sont majoritairement en bonne santé lorsqu’ils concluent une assurance maladie. Mais ils sont nombreux à partager un mal invisible: la détestation pour les petits caractères. Or, ces décriées «conditions générales» semblent poser problème dans le cadre des modèles dits «alternatifs» d’assurance de base.

Ces contrats proposent un rabais moyennant diverses conditions: choisir son médecin dans une liste restreinte, appeler un «call-center» avant d’être orienté vers un prestataire, préférer une certaine pharmacie, etc. Ce type de contrat est désormais majoritaire: 60% des assurés ont conclu des modèles avec rabais.

Lors de leur bilan annuel, les trois organisations regroupées au sein de l’Alliance des organisations de consommateurs, réunies, hier, à Berne, ont indiqué que de très nombreux patients se trouvaient en difficulté du fait de clauses complexes et obscures. Le non-respect de celles-ci, même accidentel, donne lieu à d’importantes sanctions, qui «vont jusqu’au refus de la prise en...

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