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Loi sur le cinéma: «les 4% sont un minimum vital»

Au-delà de la polémique, le producteur Jean-Marc Fröhle, revient sur les enjeux liés à la Lex Netflix.

19 avr. 2022, 00:01 / Màj. le 19 avr. 2022 à 07:48
Jean-Marc Fröhle, associé chez Point Prod, estime que cette loi pourrait être «un appel d’air bienvenu du point de vue créatif».

C’est déjà une exigence chez plusieurs grands voisins européens, comme l’Italie, la France ou l’Allemagne. La Suisse envisage de requérir que les plateformes vidéo à la demande telles que Netflix placent une part de leurs bénéfices dans la production helvétique.

Selon le sondage Tamedia/20 minutes, cette obligation d’investir 4% dans la création nationale, prévue dans ladite loi Netflix en votation le 15 mai prochain, ne fait pas l’unanimité. Le vote sera serré avec une partie de la droite qui s’y oppose et une Suisse alémanique plus réfractaire.

A lire aussi: Loi sur le cinéma: plainte déposée contre la brochure de vote

L’objet, pour lequel un référendum a été lancé, suscite même une polémique en raison d’erreurs figurant dans la brochure de vote. L’administration a indiqué sur une carte que l’obligation d’investir existe dans des pays comme la Norvège, la Suède ou la Finlande alors que tel n’est pas le...

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