Le constat de Benjamin Manz, directeur de moneyland.ch, est clair. La dernière étude du site suisse de comparaison des services financiers évoque un potentiel d’économies de plus de 6 milliards de francs. «Cet impressionnant potentiel d’économies est dû aux différences frappantes entre les diverses offres bancaires concernant l’intérêt et les coûts», constate-t-on à Zurich.
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