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Les pèlerines font de la résistance

Le Parlement veut aller vers l’interdiction de vente des fourrures. Mais la mise en œuvre traîne la patte.

05 oct. 2017, 23:42
/ Màj. le 06 oct. 2017 à 00:01
ZUR DEBATTE IM NATIONALRAT VOM 15. JUNI 2005 BEZUEGLICH DES TIERSCHUTZGESETZ STELLEN WIR IHNEN DIESES BILD ZUR VERFUEGUNG:
ARCHIV --- In Pelz gekleidete Zuschauer geniessen am 26. Januar 2003 die Polospiele und die Publizitaet auf dem gefrorenen See in St. Moritz.     (KEYSTONE/Arno Balzarini) SCHWEIZ NR TIERSCHUTZGESETZ

Le postulat approuvé par le Conseil des Etats en mars 2015 laissait peu d’espace à l’incertitude: «Le Conseil fédéral est chargé d’examiner des solutions susceptibles de (…) mettre un terme à l’importation et à la vente de produits de la pelleterie provenant d’animaux ayant subi de mauvais traitements.» En clair, le gouvernement devait se pencher sur l’interdiction de la commercialisation des vêtements, et autres articles, à base de fourrures animales.

Or, deux ans et demi plus tard, le statu quo prédomine. Aucune nouvelle piste législative n’a été présentée. Et les défenseurs de la cause animale s’impatientent.

Ils redoutent que le postulat, déposé par la conseillère aux Etats Pascale Bruderer (PS/AG), ne se soit embourbé au sein de l’Office fédéral des affaires vétérinaires (OSAV), chargé de sa mise en œuvre. Et craignent que la législation n’en reste à la déclaration obligatoire de provenance: celle-ci, instaurée en 2013, impose aux commerçants...

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