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Les moteurs recrachent trop de CO2

Les nouvelles voitures ont davantage pollué en 2018 qu’en 2017. Les importateurs passent à la caisse.

05 juil. 2019, 00:01
THEMENBILD --- Ein Porsche Cayenne steht auf einer Kreuzung an der Bahnhofstrasse in Zuerich am 23. August 2006. Um die Luftqualitaet in Schweizer Staedten zu verbessern, sollten stark verschmutzende Fahrzeuge aus belasteten Gebieten verbannt oder mit einer Gebuehr belegt werden: Diesen Vorschlag machte der VCS am Mittwoch, 28. November 2007, an einer Medienkonferenz in Bern. Die Luftverschmutzung sei besonders in den Staedten und entlang von stark befahrenen Strassen ausgepraegt, stellte der Verkehrs-Club fest. Einige europaeische Staedte seien bereits dazu uebergegangen, die schaedlichsten Fahrzeuge in solchen belasteten Zonen zu verbieten oder mit einer Gebuehr zu belegen. (KEYSTONE/Gaetan Bally) SCHWEIZ VCS LUFTQUALITAET UMWELTZONEN

Les voitures neuves vendues en 2018 en Suisse polluent trop. C’est ce qu’a indiqué, hier, l’Office fédéral de l’énergie (Ofen). La limite fixée à 130 grammes de CO émis par kilomètre a été largement franchie: 137,8 g pour les voitures importées, en hausse de 2,8% par rapport à 2017. «Les sanctions imposées aux importateurs ont atteint 108 francs, en moyenne, par véhicule (réd: plus de 30 millions de francs pour 310 000 véhicules)», précise Marianne Zünd, porte-parole de l’Ofen.

«Nous sommes surpris par cette hausse», réagit Anders Gautschi, directeur de l’Association transport et environnement (ATE). «Elle est surtout due à la part croissante des 4x4 vendus. Ils sont plus grands, moins efficaces et consomment plus.»

Amende de 4750 francs

Le recul des parts de marché du moteur diesel de 36% à 30% pèse aussi dans la facture de CO. «De nombreux automobilistes remplacent leur voiture diesel par un modèle...

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