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Les jeunes croient encore à l'amour

Selon la Commission fédérale pour la jeunesse, les ados vivent bien leur sexualité. Les accrocs sont l'exception, pas la règle. Par ailleurs, l'école et les parents doivent davantage s'impliquer dans le processus éducatif.

17 oct. 2009, 05:01

Les médias parlent rarement des trains qui partent à l'heure. Il en va de même dans le domaine de la sexualité. Ce sont les comportements déviants qui font les gros titres. «Cette approche donne une vision faussée de la réalité», s'insurge le Genevois Pierre Maudet, président de la Commission fédérale pour l'enfance et la jeunesse. «Les tournantes, viols et autres abus sexuels ne sont pas représentatifs du quotidien des jeunes d'aujourd'hui. D'une façon générale, ils vivent bien leur sexualité.» Mais dans ce domaine, rien n'est jamais acquis. Chaque génération doit construire son rapport à la sexualité. Voilà pourquoi la commission encourage les milieux et les organismes concernés à poursuivre leurs efforts et à mieux coordonner l'offre d'informations et de services.

Perception différente d'il y a vingt ans

Dans un rapport d'une centaine de pages présenté hier à la presse, la commission fait le point sur la sexualité des jeunes. On...

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