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Le virus a droit à sa loi

Les secteurs de l’événementiel, du sport et de la culture vont être davantage soutenus. La Chambre du peuple a dessiné, hier, les contours d’une «lex Covid-19» en affichant de la générosité.

10 sept. 2020, 00:01
Die Kommissionssprecher zur Debatte um das Covid-19-Gesetz, Ruth Humbel, CVP-AG, links, und Philippe Nantermod, FDP-VS, diskutieren an der Herbstsession der Eidgenoessischen Raete, am Mittwoch, 9. September 2020 im Nationalrat in Bern. Aufgrund der Krise um die Pandemie des Coronavirus, Covid-19 wurden die Pulte der Parlamentsmitglieder mit Plexiglas Scheiben eingerahmt. (KEYSTONE/Alessandro della Valle)

Le Covid-19 va avoir droit à sa loi spécifique. Le Conseil national en a débattu durant près de huit heures, hier. Et aujourd’hui, ce sera au tour du Conseil des Etats de s’y coller. Il n’y a rien de très affriolant dans cette loi. Ainsi, «elle ne prévoit pas d’obligation de vaccination et encore moins de vaccination forcée», a rassuré le chancelier de la Confédération Walter Turnherr (lire ci-dessous), histoire de faire taire les rumeurs à ce sujet.

Pour l’essentiel, il s’agit de donner une couverture légale aux nombreuses décisions prises par le Conseil fédéral, ces derniers mois, par voie d’ordonnances. Cette crise sanitaire et ses conséquences économiques et sociales vont perdurer encore l’an prochain, voire l’année suivante. Il est temps que le droit extraordinaire cède le pas au droit ordinaire.

Les sceptiques battus

Les «coronasceptiques» ont pu se manifester, hier, par l’entremise de Jean-Luc Addor (UDC, VS), mais...

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