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«Le débat sur la santé est moins idéologique»

Après trois mois au Conseil fédéral, Didier Burkhalter ne peut encore présenter un bilan d'activité. Mais il fait le point sur ses projets, qui sont nombreux et ambitieux, mais aussi clairs et réalistes.

03 févr. 2010, 05:02

L'exercice des «100 jours» devant la presse est une tradition pour un nouveau conseiller fédéral. Didier Burkhalter ne s'y est pas dérobé, même s'il a devancé l'appel de quelques jours pour pouvoir fêter calmement l'anniversaire de son épouse Sabine. Hier, il a fait le point de ses «rencontres»: avec ses collaborateurs du Département de l'intérieur, ses collègues du gouvernement et ses priorités.

Comment vous portez-vous, après ces trois premiers mois?

Très bien. Probablement parce que j'ai eu le temps de bien me préparer à mes nouvelles fonctions et que, une fois la décision prise, les choses étaient très claires. Aussi du point de vue personnel et familial. C'était un investissement qui, aujourd'hui, porte ses fruits!

Vos inquiétudes quant à la personnalisation et à la médiatisation trop fortes de la fonction étaient-elles justifiées?

Oui. Mais l'avantage, lors-qu'on est dans la fonction, c'est qu'on a une influence sur ces facteurs. On peut...

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