Le gouvernement répond ainsi à une motion adoptée en mars par le Parlement et qui l’enjoignait de légiférer sans attendre pour emêcher les mariages forcés et assister efficacement les victimes. Le rôle de l’officier de l’état-civil serait renforcé. Actuellement, le «pétabosson» est seulement tenu de se rétracter s’il apparaît manifestement que le mariage n’est pas librement contracté. A l’avenir, il devrait s’assurer que l’un ou l’autre des fiancés ne conclut pas une union sous la contrainte. En cas de doute, il pourra entendre ...
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