Six jours après l’accident militaire sur la Kander, le cinquième corps n’a toujours pas été retrouvé et le commandant de compagnie pas entendu. Les critiques continuent de pleuvoir: mercredi un ancien divisionnaire a souligné le casse-tête que constituait l’occupation des soldats.
Pour les officiers de milice, il n’est souvent pas simple de remplir les plages-horaire des soldats pendant leurs cours de répétition avec des activités pertinentes, relève l’ancien divisionnaire Ulrich Jeanloz dans différents entretiens publiés dans la presse alémanique.
Avant, les troupes étaient envoyées en cours avec «un programme de formation clair comme le cristal». Aujourd’hui, l’engagement est en première ligne. Ainsi pendant l’EURO, de nombreux soldats ont été appelés.
Ils doivent être disponibles en quelques heures en cas de missions urgentes «qu’ils ne connaissent pas à l’avance», explique M.Jeanloz. Dans ces conditions, remplir les longues plages-horaire avec des activités pertinentes n’est pas aisé, résume-t-il.
Le sens et le but...