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La SSR rabote les effectifs et l’offre

250 postes disparaîtront. En Suisse romande, la mesure se traduit par 74 suppressions d’emplois, dont près d’une moitié de licenciements. Et l’offre au téléspectateur sera réduite.

06 oct. 2015, 23:17 / Màj. le 07 oct. 2015 à 00:01
Mikrophone der SRG liegen in einer Tasche eines Journalisten waehrend einer Medienkonferenz im Medienzentrum Bundeshaus, am Dienstag, 6. Oktober 2015, in Bern. Die Schweizerische Radio- und Fernsehgesellschaft SRG plant den Abbau von rund 250 Stellen, wie sie am Dienstag in einem Communique mitteilte. Damit reagiert sie auf Einsparungen von 40 Mio. Franken, die ab 2016 anfallen. Als Grund werden die wegbleibende Mehrwertsteuer sowie der hoehere Gebuehrenanteil fuer Privatsender angegeben. Das Sparprogramm betreffe alle Sprachregionen und Unternehmensbereiche und erfolge vorrangig in Verwaltung, Informatik und Produktion. (KEYSTONE/Peter Klaunzer) SCHWEIZ SRF

Le couperet est tombé hier matin: 250 emplois passeront à la trappe. La SSR doit remédier aux baisses de 40 millions de francs de ses recettes, avec la fin de la TVA sur la redevance et la hausse de la part de celle-ci distribuée aux radios et télévisions privées (voir encadré ci-dessous). Elle n’a pas trouvé d’autre solution que de se séparer de 5% de ses effectifs.

«Le programme d’économies concerne toutes les régions linguistiques», précise le porte-parole du groupe de radio et de télévision du service public Simon Denoth. Les Alémaniques paieront le plus lourd tribut, avec la perte de 102 postes à temps plein, au Tessin ce sont 59 emplois qui sont menacés, auxquels s’ajoutent vingt postes à la direction générale à Berne.

De ce côté-ci de la Sarine, la RTS va supprimer 74 emplois. La plupart des salariés concernés se verront proposer un des postes actuellement...

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