«Cela commence à ressembler à une saga», a confessé, hier, le conseiller fédéral Guy Parmelin, saga dans laquelle il ne joue guère qu’un rôle de figurant. Et faute d’accord, hier, entre les deux Chambres, cette saga se poursuivra à la session ordinaire de juin, au grand dam des cafés, coiffeurs, physios, fitness et petits commerces, qui attendaient avec impatience un coup de pouce du Parlement sur la question des loyers commerciaux.
Dans notre édition d’hier, nous évoquions la volont&ea...