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La provocation, une stratégie réfléchie

Les affiches anti-PLR du comité d’Egerkingen font suite aux campagnes polémiques de l’UDC et du PDC.

05 oct. 2019, 00:01
Walter Wobmann, Nationalrat SVP-SO, spricht zu seinen Parteikollegen ueber die Abstimmmungsergebnisse, am Sonntag, 12. Februar 2017 im Restaurant Schlosshof in Dornach/SO. Das eidgenoessische Stimmvolk hatte am Sonntag ueber drei Vorlagen zu bestimmen, die erleichterte Einbuergerung der dritten Auslaendergeneration, die Schaffung des Nationalstrassenfonds NAF, sowie die Unternehmenssteuerreform USR III. (KEYSTONE/Peter Klaunzer) SCHWEIZ ABSTIMMUNGEN 12. FEBRUAR 2017

Il y a eu les affiches de l’UDC avec des vers dans une pomme, symbolisant ses adversaires politiques, puis la campagne du PDC avec de «faux sites internet» de candidats d’autres partis. La série se poursuit à présent avec des affiches du comité d’Egerkingen, proche de l’UDC, décrivant des élus libéraux-radicaux comme protecteurs de l’islam radical, la présidente Petra Gössi y compris. Suite à une plainte du PLR, un tribunal zurichois a ordonné le retrait des affiches et l’interdiction de diffusion.

Les trois campagnes visuelles ont deux points communs. Elles ont fait des vagues, en raison d’une certaine dose d’agressivité ou de provocation. Et les deux partis qui les ont produites, l’UDC et le PDC, sont ceux qui peinent le plus dans les sondages en vue des élections fédérales du 20 octobre.

Deux partis à la peine

Ces deux formations politiques sont-elles atteintes de fébrilité? «La pression est grande...

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