Elles sont censées aider les gens à s’épanouir, à gérer leur stress, améliorer leur hygiène de vie. Et pourtant, «les nouvelles formes de spiritualité (méditation, yoga, etc.) n’ont pas d’influence positive directe sur le bien-être subjectif», conclut le rapport sur le bien-être des Suisses, publié hier par le Centre de compétences suisse en sciences sociales (Fors).
Selon cette étude, seuls les gens pratiquant régulièrement une religion «classique» – qui vont chaque semaine à la messe par exemple – ressentent une «plus forte satisfaction dans la vie». Les autres formes de spiritualité n’ont p...