Selon Paulo Pinheiro, le président de la commission d'enquête de l'ONU sur la Syrie, qui rendait public son dernier rapport hier, "il y a des motifs raisonnables de penser que des quantités limitées de produits chimiques toxiques ont été utilisées". Mais, précise-t-il, "il n'a pas été possible, compte tenu des éléments disponibles, de déterminer avec précision quels éléments chimiques ont été utilisés, leur moyen de diffusion ou qui les a utilisés".
Les enquêteurs font état de quatre événements (à Khan al-Assal - près d'Alep - le 19 mars, à Uteibah - près de Damas - le 19 mars, dans le quar...