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Il n’y a pas de «plan B» pour sortir de l’ornière du 9 février

Johann Schneider-Ammann privilégie la piste d’une clause de sauvegarde pour débloquer le dossier.

10 nov. 2015, 23:20
/ Màj. le 11 nov. 2015 à 00:01
epa05018787 Luxembourg's Finance Minister Pierre Gramegna (L) talks with Swiss Federal Economic Minister Johann Schneider-Ammann (2-R) during a meeting of the European Free Trade Association (EFTA) with EU finance ministers at the European Council in Brussels, Belgium, 10 November 2015.  EPA/OLIVIER HOSLET BELGIUM EU EFTA FINANCE

Le chef du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche (DEFR), Johann Schneider-Amman, a participé hier à une réunion conjointe des ministres des Finances de l’UE et de l’Aele avant de rencontrer deux commissaires européens : Carlos Moedas (recherche) et Jyrki Katainen (emploi et croissance).

A tous, il a tenu à répéter la position du Conseil fédéral, qui «reste pleinement valable», sur la libre circulation des personnes : Berne veut sauver le bilatéralisme, en sursis depuis l’adoption de l’initiative contre l’immigration de masse le 9 fév...