«Il faudra bientôt passer un contrat écrit avant de faire l’amour!» Ce genre de critiques fuse, parfois, lorsqu’il est question de définir le viol comme résultat d’une absence de consentement. Car en Suisse, pour l’heure, il faut qu’il y ait violence ou contrainte pour que le délit existe. Résultat: nombre d’agressions ne débouchent pas sur une condamnation. Des professeurs de droit pénal et des parlementaires demandent une nouvelle définition.
Début juin, la Grèce est devenue le neuvième pays européen à inscrire, dans son droit pénal, que des relations sexuelles sans consentement équivalaient...