Son histoire a fait grand bruit en Suisse cette semaine. Une chercheuse de l'EPFL a subi les conséquences d'un décret interdisant de visa américain les ressortissants de sept pays musulmans durant 3 mois.
Samira Asgari, de nationalité iranienne, a été empêchée à deux reprises de prendre l'avion pour les États-Unis, où elle était attendue à l'université d'Harvard.
Vendredi soir, la RTS a révélé que la scientifique a enfin pu entrer sur le territoire américain grâce à un "arrêté Harvard". Titulaire d'un visa, Mme Asgari a embarqué dans un avion à Francfort et atterrit à Boston où l'attendaient ses avocats et collègues.
Pleased to see @RepJoeKennedy at the airport to greet Samira Asgari and others as they arrive. #NoBanNoWall pic.twitter.com/boU7mHl0tD
— Jennie Rose Halperin (@little_wow) 3 février 2017
Iranian #Harvard scientist Samira Asgari arrives in Boston after 3x barred: "I'm still shaking" @thecrimson pic.twitter.com/FnPAEt6zPS
— Hannah Natanson (@hannah_natanson) 3 février 2017
La chercheuse avait porté plainte mercredi contre le président des États-Unis.