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Coronavirus: «Nous ne serons pas submergés», affirme le patron de cliniques privées suisses. Interview.

Antoine Hubert, patron du numéro deux des cliniques privées en Suisse, le groupe Aevis Victoria, est confiant en la capacité du système hospitalier suisse à faire face à la vague actuelle.

04 déc. 2021, 00:01 / Màj. le 04 déc. 2021 à 09:31
Antoine Hubert à Genolier le 15 novembre dernier.

Avec quelque 10'000 cas d’infection au covid-19 par jour, et plusieurs dizaines d’hospitalisations quotidiennes pour les cas graves, le système hospitalier suisse est à nouveau confronté aux risques de saturation en raison de la pandémie de covid-19. Une pression que risque d’accentuer la foudroyante expansion du nouveau variant Omicron.

Hôpitaux publics et cliniques privées mettent-ils suffisamment leurs forces en commun pour faire face à la nouvelle vague? Antoine Hubert fait un point de situation alors que s’accumulent à nouveau de gros nuages noirs.

Combien de patients Covid votre groupe a-t-il accueillis depuis le début de la pandémie?

Notre groupe a accueilli des patients Covid à Genolier (VD) et à l’Hôpital du Jura bernois. D’autres établissements ont été déclarés non-Covid, pour éviter les infections. Ils ont accueilli des patients d’hôpitaux publics qui devaient faire des opérations, ainsi que, parfois, leurs médecins. Certains chirurgiens des HUG sont ainsi venus opérer leurs...

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