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Archives de Venise et EPFL, la rupture

L’Ecole poursuit la reconstruction de l’histoire de la cité par un autre biais.

03 janv. 2020, 00:01
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Les Archives d’Etat de Venise lâchent l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) pour le projet Venice Time Machine. La haute école va continuer de développer cette «machine à remonter le temps», qui vise à reconstituer numériquement l’histoire de la Cité des Doges.

Les Archives d’Etat de Venise avaient annoncé, en septembre, qu’elles suspendaient leur collaboration avec EPFL. Les relations sont «définitivement rompues», écrit l’institution italienne dans un communiqué relayé par le média en ligne Bon pour la tête.

«L’EPFL prend acte de la décision unilatérale de la nouvelle direction des Archives de l’Etat de Venise», commentait, hier, l’école. Elle relève que cette rupture intervient après «sept années de collaborations fructueuses et mutuellement positives avec les directions précédentes.»

Critiques italiennes

Malgré ce coup d’arrêt, l’EPFL assure que Venice Time Machine pourra continuer sans les archives de la ville, en «s’appuyant sur des collaborations avec d’autres institutions que les Archives», comme l’Université...

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