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Après le refus de la réforme, quid de la recette vaudoise?

12 févr. 2017, 23:44
/ Màj. le 13 févr. 2017 à 00:01
Pascal Broulis, Conseiller d'Etat du canton de Vaud, parle lors de la conference de presse sur la  Presentation de la strategie de cooperation transfrontaliere 2016-2020 de la Conference TransJurassienne (CTJ) ce lundi 18 avril 2016 a Yverdon. (KEYSTONE/Christian Brun)




 SUISSE CONFERENCE TRANSJURASSIENNE

Que va devenir le volet vaudois de la RIE III, accepté en votation cantonale avec un score de 87,1% il y a onze mois? «Il est intégralement maintenu», assure Pascal Broulis. «Provisoirement, le vote fédéral n’a aucune incidence. D’ailleurs, Vaud maintient son oui, avec un score de 51,3%.» Ainsi les mesures sociales arrimées à la baisse du taux d’impôt à 13,79%, (accueil de jour, allocations familiales et subsides pour l’assurance maladie) ne sont pas menacées, selon le grand argentier libéral-radical vaudois.

Mais Pascal Broulis dit bien «provisoirement». Selon lui la nouvelle mouture de la RIE III fédérale devra remplir deux conditions pour que les mesures sociales vaudoises soient financées: «Il faut que le milliard de francs de compensation aux cantons soit maintenu et que les statuts fiscaux spéciaux soient supprimés. La gauche et la droite doivent se mettre d’accord sur ces deux points». Le taux d’imposition fixé...

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