Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

A l’écoute des familles déchirées

Le centre Kescha se soucie des gens concernés par des mesures de protection de l’enfance et de l’adulte.

18 janv. 2018, 00:01
ZUR JAHRESBILANZ DER UNABHAENGIGEN ANLAUFSTELLE KESCHA STELLEN WIR IHNEN HEUTE, 16. JANUAR 2018, FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG - A staff member of the Child and Adult Protective Services Oberland West processes records on a computer, in Frutigen, Switzerland, on May 7, 2015. (KEYSTONE/Peter Klaunzer)

Ein Mitarbeiter der Kindes- und Erwachsenenschutzbehoerde (KESB) Oberland West bearbeitet Unterlagen an einem Computer, am 7. Mai 2015, in Frutigen. (KEYSTONE/Peter Klaunzer)

 SCHWEIZ KESCHA JAHRESBILANZ

Le téléphone sonne huit à dix fois par jour. Au bout du fil, «des personnes en chute libre, qu’il faut aider afin que leur situation ne dégénère pas», explique l’entrepreneur zougois Guido Fluri, initiateur du Centre d’écoute et d’assistance de l’enfant et de l’adulte (Kescha), qui a ses bureaux à Zurich. En une année, il a traité près de 1100 dossiers, presque tous (94%) concernant la Suisse alémanique. Ce premier bilan, et des recommandations, ont été présentés mardi.

En tant qu’organe indépendant, soutenu par diverses organisations de travail social, Kescha a été créé en 2017 dans un climat de méfiance, en Suisse alémanique, à l’égard des Autorités de protection de l’enfance et de l’adulte (APEA). Plusieurs drames avaient suscité un flot de critiques, qui n’ont jamais eu d’équivalent en Suisse romande. Cela explique partiellement, selon Kescha, que la quasi-totalité des appels soient venus de Suisse alémanique.

Des mesures à...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias