LONDRES
Interrogé samedi sur l'éventualité d'un match-piège face à Jürgen Melzer (29 ans / ATP 16), demi-finaliste à Roland-Garros au début du mois, Roger Federer, un brin vexé, avait donné cette réponse qui lui paraissait alors évidente: «Je ne m'en fais pas, car plus mon adversaire est fort, et mieux je joue.»
Hier, le N° 2 mondial a montré qu'il était beaucoup plus confiant en son tennis que dans l'acuité de ses demandes de «challenges» électroniques. Ce n'est un secret pour personne, Federer n'a jamais apprécié l'introduction de l'«oeil de faucon». Et le moins que l'on puisse écrire, c'est q...