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Vite fait, bien fait

Facile vainqueur de Melzer en 8e de finale, le Bâlois n'est jamais aussi dangereux que pendant la deuxième semaine d'un grand chelem. Berdych est prévenu.

29 juin 2010, 05:02

LONDRES

Interrogé samedi sur l'éventualité d'un match-piège face à Jürgen Melzer (29 ans / ATP 16), demi-finaliste à Roland-Garros au début du mois, Roger Federer, un brin vexé, avait donné cette réponse qui lui paraissait alors évidente: «Je ne m'en fais pas, car plus mon adversaire est fort, et mieux je joue.»

Hier, le N° 2 mondial a montré qu'il était beaucoup plus confiant en son tennis que dans l'acuité de ses demandes de «challenges» électroniques. Ce n'est un secret pour personne, Federer n'a jamais apprécié l'introduction de l'«oeil de faucon». Et le moins que l'on puisse écrire, c'est que celui-ci le lui rend bien.

Tellement prévisible

Un piège, Melzer? «Peut-être, mais je pense avoir très bien joué. Face à des joueurs un peu moins dangereux, tu as le temps de te poser beaucoup de questions: est-ce que je refuse mon revers pour frapper en coup droit, est-ce que je...

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