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Murray ne dit rien qui vaille...

L'Ecossais restera-t-il le meilleur joueur à ne pas s'être imposé en grand chelem? Boris Becker le craint, le Royaume aussi. Seuls les bookmakers croient en lui.

02 juil. 2012, 00:01
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Misez une livre sterling, et la victoire d'Andy Murray à Wimbledon vous en rapportera six. Les bookmakers londoniens, dont les bureaux fleurissent à tous les coins de rue, sont optimistes. Ils ne l'ont pas toujours été. Avant le début du tournoi, l'Ecossais de 25 ans était coté à 12 contre 1. La disparition de Rafael Nadal, battu par le Tchèque Lukas Rosol jeudi au 2e tour, a changé la donne. Le choc à peine digéré, les tabloïds et leurs équivalents sur internet titraient, dans un langage plus ou moins châtié: "Maintenant, plus rien n'empêche Murray d'aller en finale." Ou encore: "Andy, bouge-toi le c... popotin!" Et enfin: "Merci Rosol, tu n'es personne mais on te doit tout." Murray, vainqueur au All England Club! 76 ans après Fred Perry? Le raccourci est facile. "C'est oublié Baghdatis, Cilic, Kohlschreiber ou Tsonga, qui sont tous dans ma partie de tableau et qui sont...

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