Si la Suisse vise ce week-end une deuxième finale vingt-deux ans après le duel contre la "dream team" des Etats-Unis à Fort Worth, la France nourrit l'ambition cette année d'en disputer une... septième depuis 1991.
A Roland-Garros, les "Mousque taires" ont les faveurs du pronostic contre la République tchèque, double tenante du titre. Malgré le statut de réserviste de son meilleur atout - Gaël Monfils -, la France devrait pleinement tirer parti de l'avantage de la surface. La terre battue est, en effet, celle sur laquelle Tomas Berdych peine à exploiter tout son potentiel. Or pour gagner une... onzième rencontre de suite, les Tchèques misent essentiellement sur un carton plein de leur leader. Même si Lukas Rosol (ATP 27), préféré à Radek Stepanek pour la place de No 2, peut dans un jour de grâce signer un improbable exploit. SI