Dimanche 22 juillet. Sur le gazon "repeint" en vert de Wimbledon, Andy Murray promène la torche olympique. Comme pour brûler sa récente défaite en finale face à Roger Federer et aussi pour rallumer la flamme d'un espoir doré.
Jeudi 26 juillet. Hier donc. Le Bâlois, tête de série numéro un du tournoi, est attendu par plus de deux cents journalistes dans la salle de conférence du centre des médias. Une victoire, dans neuf jours, ferait de l'artiste suisse l'une des stars des Jeux qui s'ouvrent ce soir. Et réaliserait le rêve d'un joueur qui a tout gagné. Sauf l'or olympique...
"Si j'allais à Rio..."
Pour y parvenir, Federer devra être à l'heure au rendez-vous. Pas comme hier soir où il est arrivé face aux médias avec un set de retard. Quarante-cinq minutes. "L'or? Il faut déjà remporter la médaille avant de connaître les émotions qu'elle procure. J'en ai déjà une,...