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Bacsinszky a faim de travail

Le «caméléon de Belmont», éliminé en quart par la Néerlandaise Kiki Bertens (7-5 6-2), ne retrouvera pas le dernier carré de la Porte d’Auteuil une deuxième année de suite.

02 juin 2016, 23:24
/ Màj. le 03 juin 2016 à 00:01
Timea Bacsinszky of Switzerland reacts as she plays Netherlands' Kiki Bertens during their quarterfinal match of the French Open tennis tournament at the Roland Garros stadium, Thursday, June 2, 2016 in Paris.  (AP Photo/Christophe Ena) France Tennis French Open

Paris, c’est fini. Et dire que c’était la ville de son premier grand amour, là où elle avait obtenu le résultat le plus signifiant de sa carrière l’année dernière en y atteignant les demi-finales. L’aventure de la Vaudoise a cette fois pris fin en quarts. Un résultat exceptionnel, cela d’autant plus que Timea Bacsinszky a atteint ce stade de la compétition à trois reprises en une année seulement. Ce matin pourtant, on se demande qui de la satisfaction ou du regret occupent son esprit. «Je suis très déçue, évidemment. J’adore gagner et déteste perdre», déclare celle qui dit avoir joué avec une tendinopathie. «Elle est présente depuis Rome. Mais je n’ai pas été gênée durant le tournoi. Je devais juste être attentive à la gestion des charges.»

Un quart de majeur, vraiment?

Celle qui s’était définie après sa victoire contre Venus Williams comme un «caméléon capable de s’habituer à toutes...

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