Oubliez les félicitations et autres louanges en cas de top 10. Ici, seules les trois marches du podium synonymes de médaille d’or, d’argent ou de bronze retiendront l’attention: bienvenue dans le monde impardonnable des championnats du monde, là où la pire des places n’est autre que la quatrième, celle qui vous sépare d’un rien mais à tout jamais de l’histoire. «C’est triste, mais c’est exactement ça», sourit Pirmin Zurbriggen.
Le légendaire skieur haut-valaisan, neuf m...