Mes dimanches
Déjà dans mes lointains souvenirs d’enfance, je n’aimais pas le dimanche parce que je pensais à des trucs tristes et au temps qui passe. Devenu, du moins sur le papier, grand, ça ne s’est pas vraiment amélioré. Les tourments de jeunesse se mélangent souvent à ceux, du moins sur le papier aussi, d’adulte, dans un grand cycle d’ailleurs pas toujours très rond. Ah, toutes ces choses que l’on aimerait faire, ces personnes que l’on voit trop peu, celles que l’on souhaite...