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L'arbitre n'est pas encore hors-jeu

Premier Suisse à avoir reçu la distinction de meilleur arbitre du monde, le Tessinois a connu des moments beaucoup plus agités ces derniers mois.

05 nov. 2010, 05:02

Mai 2009, stade Olympique de Rome: le FC Barcelone de Lionel Messi affronte le Manchester United de Wayne Rooney en finale de la Ligue des champions. Au centre de toutes les attentions, les vingt-deux acteurs. Evidemment. Dans l'ombre, un homme. En noir. L'arbitre. En l'occurrence, Massimo Busacca. Qui passe inaperçu. A moins qu'il ne commette une erreur, et il deviendrait alors le personnage principal. «C'est bien là tout le paradoxe de ce métier. Je dirais que l'arbitre doit faire partie des acteurs, sans être un protagoniste», nous confesse-t-il.

Trois mois plus tard, un doigt d'honneur. En direction des supporters des Young Boys. Puis il y a eu cette décision lors de son premier et... dernier match de la Coupe du monde en Afrique du Sud. Une erreur arbitrale? «J'ai connu une période difficile là-bas car la décision à prendre lors de ce match l'a été tout autant. En une...

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