La première s'appelle Vinicius, un gros chat jaune à queue de singe, et la deuxième, Tom, une sorte de plante. En somme, elles représentent la faune et la flore du Brésil.
— Agnès Barillot (@agnes25B) 3 août 2016
Mais leurs noms n'est pas anodin non plus. Ils sont deux références explicites à Vinicius de Moraes et Tom Jobim, deux pères fondateurs de la bossa nova. Né à Rio à la fin des années 50, ce genre musical à la croisée de la samba, du jazz et du classique, a conquis le monde de manière spectaculaire.
Lors des précédents JO, le choix des mascottes étaient moins recherché. A Londres, Wenlock était un clin d'oeil aux taxis londoniens. En 2008 à Pékin, les cinq "fuwa" incarnaient les cinq éléments et les cinq anneaux olympiques... Plus souvent, c'est un animal sympathique: Cobi le chien à Barcelone en 1992, Sam l'aigle à Los Angeles en 1984, ou Amik le castor à Montréal en 1976... Rien de très élaboré.
Remember Wenlock & Mandeville?#Olympics #London2012 #London pic.twitter.com/djEP0UvERk
— Grant (@SnowAndBeach) 4 août 2016
#SabíasQué… …en los #JO Pekín 08 se creo el grupo de las 5 mascotas: Fuwa. Beibei, Jinging, Huanhuan, Huanhuan y Nini pic.twitter.com/l3milK3C
— Comex Pinturerías (@ComexPintu) 27 août 2012
Hautes en couleurs, Vinicius et Tom ne vont certainement pas passer inaperçues pendant la quinzaine des Jeux.