MANNHEIM
Les 60 minutes difficiles vécues hier par les Suisses assombrissent quelque peu le tableau lumineux qu'ils avaient peint jusqu'à présent à Mannheim. La très nette baisse de régime observée face à des Norvégiens opportunistes en diable intervient toutefois au meilleur des moments. La raison est simple: quel qu'ait été le résultat de cette rencontre, il n'aurait eu quasi aucune influence sur la tête du classement final du groupe F. «S'il y a un match que l'on pouvait perdre, c'est bien celui-...