Il retrouvera à nouveau Bienne. Il doit ce barrage face au cancre de l'élite grâce, avant tout, à sa solidité défensive. «Derrière, nous étions vraiment costauds», confirme le Valaisan Jérémie Kamerzin. «En maîtrisant la zone neutre, nous n'avons pas permis à Viège de prendre de la vitesse. Et derrière, nous avions encore Mona dans le but. Inconsciemment, c'était dur pour notre adversaire de savoir qu'il aurait encore affaire à un tel gardien, une fois entré dans notre zone. Enfin, les attaquants ont inscrit les buts qu'il fallait.»
Jérémy Gailland, l'un des artisans de cette réuss...