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Hockey: premiers mondiaux pour le Sierrois Vincent Praplan

A 22 ans, le Sierrois Vincent Praplan, attaquant de Kloten, disputera ses premiers mondiaux avec l'équipe de Suisse. Premier match pour la Nati à Paris samedi face à la Slovénie.

03 mai 2017, 16:28
Vincent Praplan vivra à Paris ses premiers championnats du monde sous les couleurs de la Nati.

A quelques heures de griffer la glace avec l'équipe de Suisse, le Sierrois Vincent Praplan livre ses impressions.

Disputer des mondiaux avec la Suisse, qui plus est pour la première fois, doit avoir une saveur particulière…

Ça représente beaucoup, oui. Faire partie de cette équipe me rend très fier. Cela d’autant plus que je suis encore assez jeune (ndlr: 22). Je suis surtout heureux de pouvoir disputer une nouvelle fois des championnats du monde puisque la dernière fois que j’avais eu cette opportunité remonte à la saison 2013/14. C’était avec les M20. A cette période, je savais qu’il me faudrait un peu de temps avant de pouvoir espérer à nouveau prendre part à des mondiaux. Je suis très fier que cette convocation soit arrivée si tôt.

Nous sommes le 3 mai, il commence à faire beau et chaud, et vous êtes toujours sur la glace. Pas trop dur ?

Mais la saison actuelle n’est pas la plus longue que j’aie connu à ce jour (il rigole). Lors de cette même saison 13/14, alors que je jouais au Canada, on avait perdu en finale de play-off. Mais oui, c’est certainement l’un de mes plus longs exercices.  Ça fait assez bizarre puisque mes coéquipiers de Kloten ont débuté la préparation physique d’été…

Mais vous ne regrettez pas votre situation actuelle…

Pour rien au monde je n’irais en salle de force à la place de jouer sur la glace (il sourit).

Finalement, quels objectifs personnels et d’équipe espérez-vous atteindre à Paris ?

Il est toujours délicat de s’exprimer par rapport aux buts personnels: biensûr que chaque joueur espère évoluer à son meilleur niveau et présenter son meilleur hockey pour son image. Mais au final, si on est à Paris, c’est pour l’équipe suisse et pour défendre la croix qui est floquée sur notre maillot. L’objectif de l’équipe, justement, qui a d’ailleurs été communiqué par nos coachs, c’est d’atteindre les quarts. L’important, ce sera de prendre match après match. Ensuite, pourquoi ne pas aller chatouiller les grosses équipes et reproduire la même performance qu’en 2013, quand la Nati avait décroché l’argent…

Retrouvez l'intégralité de ce sujet dans nos éditions papier et numériques de jeudi. 

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