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On veut y croire

Battue par la République tchèque, elle a de plus perdu Frei. Et se retrouve déjà dos au mur avant de jouer contre la Turquie, mercredi soir.

09 juin 2008, 05:01

DE BÂLE ET FEUSISBERG

Quand les passions s'estompent, la froide réalité impose ses contours figés. Un match, une défaite, zéro point donc et le meilleur buteur, le seul à vrai dire, qui marche avec des béquilles: la Suisse rêvait d'un paradis qui s'est mué en purgatoire. Et il lui faut un miracle, désormais, pour garder la foi.

Il faut voir simplement si cela est possible. Si cette Suisse qui a montré des belles choses sera capable, en moins d'une semaine, d'inverser la tendance, de nager contre ce courant de poisse qui fait le lit des illusions perdues.

Avant le Suisse-Turquie de mercredi soir, il est déjà temps de faire le point de la situation,

» LES ENSEIGNEMENTS

Attendue au tournant pour l'ouverture de l'Euro contre la République tchèque, la Suisse a répondu présent. Les occasions sont là pour le confirmer.

«Et c'est justement pour cela qu'il n'y a pas de...

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