L’état de grâce est bien terminé pour Gianni Infantino. Elu le 26 février à la présidence de la FIFA pour réformer une instance gangrenée par la corruption, les trois premiers mois de mandat du successeur de Joseph Blatter sont loin de faire l’unanimité et les accusations pleuvent.
«La crise est terminée», affirmait Infantino le 13 mai lors du congrès de la FIFA à Mexico. Le Valaisan de 46 ans s’est probablement un peu avancé. Hier, le Ministère public de la Confédération a effectué de nouvelles perquisitions au siège de la FIFA à Zurich, toujours dans le cadre de l’enquête ouverte l’année ...