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Le doute

La Nati s’est égarée dans des variantes inconnues à deux mois de l’Euro.

30 mars 2016, 23:18 / Màj. le 31 mars 2016 à 00:01
Swiss Breel Embolo, left, Timm Klose, center, and Granit Xhaka, right, after during the friendly soccer match between Switzerland and Bosnia Herzegovina at the Letzigrund Stadium in Zurich, Switzerland, Tuesday, March 29, 2016. (KEYSTONE/Walter Bieri) FUSSBALL LAENDERSPIEL CHE BIH

Après avoir sombré en Irlande (défaite 1-0), la Suisse de Vladimir Petkovic n’a pas rassuré contre la Bosnie-Herzégovine (revers 2-0), même si elle s’est montrée – à peine – plus inspirée à Zurich qu’à Dublin.

Quoi qu’il en soit, le constat est implacable après ces deux prestations sans relief: cette équipe de Suisse est actuellement égarée en plein désert. En quête d’un système de jeu, elle manque de cohésion et de liant. Elle est longue, la liste de joueurs à avoir traversé ces deux rencontres, soit comme des âmes en peine, soit sous le drap d’un fantôme effrayé par sa propre ombre: Seferovic, Mehmedi, Schär, Rodriguez à deux reprises; Dzemaili, Kasami, Senderos, Klose, etc. une fois seulement, par manque de temps de jeu. Stop. Il serait trop fastidieux de tous les citer.

«Maîtrise» dangereuse

Sans système de jeu, chacun y va de sa propre partition au détriment d’un collectif qui...

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