Coupe du monde: la solidarité vaut bien de fortes individualités
Il n’est pas interdit de penser que le sélectionneur brésilien Tite n’aurait pas choisi un seul joueur suisse dans sa liste des 23. Parce qu’il dispose d’individualités exceptionnelles et que ses joueurs sont parmi les meilleurs à leur poste. Heureusement, le foot, le sport en général, ne se limite pas à une somme d’individualités. La Suisse a prouvé qu’avec un gros cœur, un énorme courage, une belle solidarité, un peu de chance, parfois aussi, le «petit» peut bousculer le grandissime favori. A propos: combien de nations peuvent se vanter d’être invaincues en Coupe du monde face au Brésil? C’est pas costaud, ça?
48 équipes en phase finale, est-ce vraiment une bonne idée?
Il paraît – paraissait, désormais peut-être – que la Russie était absolument nulle. Certains nous ont même expliqué pourquoi cette nation était d’une insigne faiblesse. D’ailleurs, au pays,...