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Coupe du monde 2018: ça ne s'est pas passé sur le terrain, mais on vous le dit quand même

Les anecdotes et les petites histoires de cette journée du 2 juillet à la Coupe du monde de football en Russie, c'est par ici que ça se passe.

02 juil. 2018, 23:00
La Suède semble mieux se porter sans Zlatan Ibrahimovic.

Reconversion

Si Patrice Evra espérait se reconvertir en tant que consultant après sa carrière de joueur, c'est apparemment mal parti si l'on se base sur sa prestation pour la télévision britannique. Recruté par la chaîne ITV pour la durée de la Coupe du monde, le joueur de West Ham ne s'attire pas que des compliments.

 

"Les grands joueurs ne font pas forcément de grands consultants et parfois les grands joueurs font de très mauvais consultants, comme c'est le cas avec Evra", écrit le quotidien "The Guardian". "Condescendant", "paresseux" dans ses analyses, il a également été critiqué pour une attitude jugée sexiste envers une consultante de la chaîne. Une prestation qui lui vaut une note de 1,5/10 là où d'autres sont bien mieux notés. Slaven Bilic obtient ainsi une note de 9/10, tandis que Frank Lampard et Cesc Fabregas sont notés 8/10.

La confiance récompensée

Après avoir éliminé l'Espagne aux tirs au but et assuré la qualification de la Russie en quarts de finale, le sélectionneur russe Stanislav Cherchesov a tenu à remercier une personne bien particulière. Pas un membre de son staff ou de sa famille, mais un journaliste péruvien, qui avait pronostiqué que la "Sbornaïa" irait loin dans la compétition. Lorenzo de Chosica, qui vit en Russie depuis quelques années, s'est vu offrir un maillot de la "Sbornaïa" dédicacé par tout l'équipe, "parce qu'il a été l'un des rares à nous faire confiance", a expliqué Cherchesov.

Avec ou sans Zlatan?

Qualifiée pour les huitièmes de finale, la Suède n'était pas forcément attendue à ce stade de la compétition, en particulier en l'absence de sa star Zlatan Ibrahimovic. Mais finalement, la retraite internationale d'Ibrahimovic semble avoir été un mal pour un bien pour les Suédois "En tant qu'équipe, on joue de façon collective. Zlatan... en tant que personne, en tant que joueur, c'est quelqu'un d'individualiste, tout le jeu tourne autour de lui. Maintenant on joue plus en équipe, tous ensemble", a estimé le gardien suédois Karl-Johan Johnsson.

Respect et motivation

Le sélectionneur de l'Angleterre Gareth Southgate a peut-être donné une motivation supplémentaire à la Colombie en alignant une équipe B pour son dernier match de poule contre la Belgique, avertit l'ancien manager du XV de la Rose Clive Woodward. Battus, les Anglais se sont qualifiés pour les 8e avec la deuxième place du groupe et héritent ainsi d'une partie de tableau jugée plus facile. Mais avant d'affronter des adversaires censés être abordables, les Anglais doivent défier la Colombie de James et Falcao. "Qui peut croire qu'affronter la Colombie va être facile. (C'est) l'une des équipes les plus offensives au monde", s'est demandé Woodward. "Quelle meilleure motivation pour la Colombie que d'être considérée comme une équipe facile ? J'aimerais vraiment être à la tête de cette équipe de Colombie cette semaine pour rappeler à mes joueurs que l'Angleterre ne les respecte pas", a-t-il ajouté.

 

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